Si le groupe Volkswagen s’est fait le grand spécialiste des plate-formes bonnes à tout faire, jusqu’à atteindre des sommets de flexibilité avec sa toute dernière MQB, les constructeurs français ne se contentent pas de regarder le train passer. Eux aussi fourbissent leurs armes, sous la forme de nouveaux soubassements plus légers, hyper-adaptables et capables d’équiper un grand nombre de modèles. Baptisées EMP2 chez PSA et CMF chez Renault-Nissan, ces plate-formes inédites auront un rôle capital : améliorer la rentabilité trop fragile des groupes automobiles tricolores.
Plate-formes flexibles : les Français s’y mettent aussi
7