Dans le temps, c’était simple. Il suffisait de concevoir un gros moteur multicylindres, de lui greffer un joli échappement, et l’on obtenait une voiture délivrant un son mélodieux. Si, au contraire, on visait l’insonorisation la meilleure possible, on retravaillait les silencieux et on ajoutait des dizaines de kilos d’insonorisants et autres doubles vitrages. Mais ça, c’était avant. Avant la guerre au CO2, avant le downsizing, avant la chasse au poids superflu. Désormais, on utilise l’électronique pour atténuer ou modifier les sons perçus dans l’habitacle. Pour le pire comme pour le meilleur…
Les « magiciens » du son à l’oeuvre
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