Inexorablement, le diesel continue de grignoter des parts de marché, en France comme dans le reste de l’Europe. Une exception culturelle, dans un monde largement dominé par les motorisations à essence. Mais le nouveau record atteint par le « mazout » dans les immatriculations (73,25 % au premier trimestre en France et 55,5 % dans toute l’Europe de l’Ouest) pourrait bien sonner comme un chant du cygne. S’il est plébiscité pour ses rejets de CO2 très faibles, le diesel est en effet menacé par les futures normes antipollution Euro 6. De plus en plus coûteux à dépolluer, il amorcera alors une lente mais inexorable décrue.
Le diesel : bientôt le début de la fin ?
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