Le 27 mai dernier, Google publiait une vidéo présentant son tout premier concept-car ! Un prototype basé bien évidemment sur le principe de la voiture autonome, dont le géant américain s’est fait un spécialiste bien connu du grand public, au point que le vocable de « Google Car » est presque passé dans le langage courant. Mais s’il dispose d’un indéniable savoir-faire en matière de logiciel, Google montre ses limites lorsqu’il s’agit de mettre au point un nouveau concept de véhicule. D’où cette question : quel rôle pourra-t-il jouer dans ce futur marché de la voiture automatisée, notamment face à des constructeurs automobiles forts d’un siècle d’expérience ?
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Voiture électrique : vent de panique chez Renault-Nissan
En début d’année, je vous expliquais que l’industrie automobile commençait à lentement perdre la foi en matière de voitures électriques, et que seul l’impayable Carlos Ghosn, patron de Renault-Nissan, continuait de croire à un marché capable d’absorber 10 % de véhicules électriques à l’horizon 2020. Mais même lui se pose désormais des questions ! Dans une récente interview au Financial Times, Ghosn a du se rendre à l’évidence : le marché n’est pas prêt…
Plate-formes flexibles : les Français s’y mettent aussi
Si le groupe Volkswagen s’est fait le grand spécialiste des plate-formes bonnes à tout faire, jusqu’à atteindre des sommets de flexibilité avec sa toute dernière MQB, les constructeurs français ne se contentent pas de regarder le train passer. Eux aussi fourbissent leurs armes, sous la forme de nouveaux soubassements plus légers, hyper-adaptables et capables d’équiper un grand nombre de modèles. Baptisées EMP2 chez PSA et CMF chez Renault-Nissan, ces plate-formes inédites auront un rôle capital : améliorer la rentabilité trop fragile des groupes automobiles tricolores.