David a déjà souligné les effets pervers du « downsizing », cette formule magique des constructeurs pour battre des records de frugalité et d’écologie. Certes, le CO2 et les consommations baissent (du moins en théorie !), mais le plaisir du conducteur chute aussi, à peu près au rythme de la réduction du nombre de cylindres. Jusqu’alors, tout le monde ne jurait que par la recette du petit moteur suralimenté pour remplacer le « gros » moteur atmosphérique. Mais Mazda trace une voie différente, avec des résultats voisins. À en croire les ingénieurs nippons, le « downsizing » ne serait donc pas une fatalité.
Le « downsizing », une fatalité ? Pas sûr !
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